Elle soupira avant de baisser les yeux pour exprimer son agacement. Même si la présence de son bel appollon la rendait euphorique, aujourd'hui elle n'arrivait même plus à revêtir son habituel sourire sadique.

"Quelque chose vous dérange demanda Hannibal quand il notifia ce soupir.
- La vie en elle-même me dérange " essaya-t-elle de sourire.
- Qu'est ce qui vous dérange dans la vie ?
- La stupidité des autres.
- Tout le monde n'est pas stupide.
- Vous êtes le seul à ne pas l'être. " et c'est bien pour cette raison qu'elle était fasciné par lui.
- Je ne suis pas le seul, le problème vient peut-être du fait que vous cotoyer les mauvaises personnes.
- J'aimerais pouvoir vous cotoyer vous, plus souvent.

Hannibal soupira, il détestait cotoyer ses patients. " Ce n'est pas possible mais, il existe des personnes bien plus intéressantes que moi".
- Comme qui, donnez moi un nom et une adresse
- Je n'ai pas à vous communiquer mon carnet d'adresses personnel mais, c'est à vous de faire des efforts, sortir, essayer de trouver des personnes avec les mêmes centres d'intérêts que vous.
- Mon seul centre d'intéret est la personne que j'aime.
- Et qui est cette perrsonne ? Vous devez avoir les mêmes centres d'intêrets non ?
- Je vous en ai déjà parlé, c'est peine perdue. Il ne sait même pas que je l'aime. Je pense pas avoir grand centre d'interet avec lui, mis à part sa personne.
- Alors ce n'est peut être pas le personne qu'il vous faut.
- Oh je sait bien que ce n'est pas la persoonne qu'il me faut, ça ne m'emppeche pas de l'aime inconditionnelement et d'être omnibulé par sa personne.
- Vous n'avez pas esayer de rencontrer d'autres personnes ?
- Nan, je sais très bien q'ulles ne seront jamais aussi intéressantes que lui.
- comment pouvez vous le savoir si vous n'essayez pas
- Je sais que n'y arrivera pas de toute façon, me faire des amis n'est pas mon talent premier.
- Vous n'irez pas mieux si vous abandonnez avant d'essayer.
- Aidez moi au moins, seule, je sais que je n'y arriverais pas.

Hannibal soupira. D'aussi loin qu'il s'en souvienne, il n'avait jamais eu une patiente aussi chiante. Il préfère même les hypercondriaques. Il n'avait pas vraiment envie de faire d'effort. Il cherchait une solution qui pourrait convenir à sa patiente pour qu'elle lui foute la paix. " Bien..." dit-il au bout d'un moment " J'organise une réception ce soir. Vous n'avez qu'à venir et je vous aiderais en vous présentant à des personnes ou vous montrer comment vous comportez en société si vous le voulez. Mais vous devrez faire un effort ! Je ne suis aps autorisée à faire ça en emps nomal mais je le fais pour vous aider." ou plutôt pour qu'elle lui foute la paix.

- merci " elle sourit sincérement, fière de sa petite victoire. Ses doigts tapaient sur le fauteuil auquel elle était assis. Elle était telllement fière d'elle qu'elle ne savait plus quoi dire.

- Avez vous d'autres choses à partager avant la fin de la séance ?
- Pas à ma connaissance " dit-elle sans vriament réfléchir à cette question
- Peut-être avez vous une question auquel vous cherchez des réponses ? Il reste 10m mais vous pouvez partir maintenant si vous le voulez.

Elle ne pouvait supporter le fait de s'en aller sachant qu'elle avait la possibilité de rester un petit instant à admirer sa froideur si déconcertante.
- Pourquoi êtes vous si froid ? " demanda-t-elle sans hésiter.
- Je ne suis pas foird, je reste professionnel.
- Trop à mon goût " le nargua-t-elle
- Je fais simplement bien mon métier.
- Sans doute
- Bref, c'est tout ce que vous vouliez demander ?
- Pour le moment oui
- bien dans ce cas, la séance est finie

(sont pas prêts de baiser)